Toutes Les Femmes S’Appellent Marie : Bisexualité

Lorsque parfois, je peux me libérer, je l’accompagne. Elle est devenu une habituée des lieux et le patron la salue et l’embrasse. Dans l’établissement aussi elle a ses habitudes et ses fans. Certains sont un peu vexés lorsqu'elle est avec moi, mais nous faisons comprendre que nous ne sommes pas hostiles a un trio voire plus.
C’est lors d’une de ces rencontres que Marie va découvrir ma bisexualité. L‘homme avec lequel elle a déjà eu quelques bons moments caresse mes fesses, puis mon sexe sans que je ne le repousse. Marie s’en rend compte lorsqu’il passe sous moi qui suis à genoux en train de la lécher et il me suce.
« Cà ne te gêne pas de te faire sucer par un mec ?
Non. Il fait ça très bien.
Et toi, tu suces aussi ?
Oui, j’aime ça.
Eh bien mon salaud ! Tu caches bien ton jeu ! Tu aimes aussi les mecs !
Je t’ai bien dis que tu ne me connaissais pas ! J’aime le sexe et je n’ai pas de blocage par rapport à ça.
Cà te dirait de le sucer et qu’il te suce ?
Un soixante neuf tu veux dire ?
Ouii ! J’aimerais voir ça ! »
Mon compère, qui a tout entendu se couche sur le dos. Je l’enjambe et nous nous suçons mutuellement. On se couche ensuite sur le côté pour être en phase et surtout se mettre un doigt dans le cul.
Marie regarde notre couple avec avidité, puis n’y tenant plus, se caresse.
« Putain que c’est beau deux mecs ensemble ! Surtout de te voir toi. Je n’aurais jamais cru !
Deux femmes c’est beau aussi, dis-je, avant de reprendre mon travail. »
Mon compagnon a une belle queue et je me régale. A nos côtés, Marie se branle frénétiquement, sans pouvoir détacher son regard.
« Vous voulez pas vous enculer ?
Je réponds. Je veux bien qu’il me prenne, si ensuite je te baise pendant qu’il m’encule.
Salaud ! Espèce de pédé ! Je t’adore vraiment ! Oui, je veux le voir t’enculer, qu’il te pète la rondelle et ensuite, toi tu m’enculeras pendant qu’il te baisera le cul.

»
Dans ces cas-là, Marie se lâche et adore dire des mots crus, ce qui augmente son excitation et celle de ses partenaires. Son joli minois avec ses yeux bleus lui donnent une apparence de femme sérieuse et bien éduquée ce qui contraste avec ses propos.
Elle se place contre moi et vicieusement, écarte elle-même mes fesses pour m’offrir à son amant. Elle guide sa pine sur mon trou et contemple un instant la sodomie. L’homme me baise bien profond. Au début, mon érection est retombée, mais manipulé par Marie et par les coups de boutoir de mon amant, ma bite se redresse. Marie juge alors temps de se faire prendre à son tour. C’est vers son anus qu’elle guide mon sexe – « Encule moi toi aussi mon chéri ! » Ce n’est pas si facile que ça de tenir la cadence, mais nous parvenons à la jouissance. L’homme se vide dans la capote au fond de mon cul au moment ou moi-même je me vide dans celui de Marie. Les contractions de mon anus ont eu raison de sa résistance.
Nous redescendons petit à petit sur terre. Marie se déboite, se retourne et je me couche sur elle. Nous nous embrassons tendrement alors que l’homme continue ses pénétrations dans mes fesses.
« Il t’encule encore ?
Oui ! C’est très bon ! Il débande peu à peu. J’espère qu’il ne va pas repartir à l’assaut !
Mon cul oui ! Je suis sûre que tu ne dirais pas non, mon petit pédé chéri ! J’ai adoré le voir te sodomiser. C’est très beau. Je suis heureuse d’avoir vu ça, en plus avec toi. »
Marie est devenue une petite libertine très appréciée. Elle m’apprend un jour qu’elles se voient avec l’autre Marie, soit en trio avec son mari soit, très souvent, les deux seules. Elle a en effet découvert les joies des amours féminins.
Après l’expérience où elle m’a vue en action avec son amant. Les deux femmes ont eu envie que nous fassions une partie carrée dans laquelle les quatre participants se mélangeraient sans distinction de couple ni de sexe. Le mari de Marie étant lui aussi bisexuel. L’idée de mélanger deux Marie et deux Jean leur plaît beaucoup.

Les trois sont enseignants. Je planifie un repos pour un mercredi. Le mardi soir je retrouve Marie à son appartement, puis nous nous rendons chez le couple. Les femmes se sont habillées sexy. C’est la première fois que je les voie ainsi. Notre hôtesse porte une robe noire ultra courte et ultra moulante, ce qui sur son corps voluptueux, fait un effet « bœuf » Un décolleté généreux renforce son sex-appeal le sillon entre ses seins montre qu’elle ne porte rien en dessous. Pas non plus de trace de culotte et que dire des bas dont la lisière est visible.
Mes yeux doivent sortir de leur orbite et ma Marie me fait remarquer :
« Eh bien dis donc ! Tu en fais une tête ! Pourtant tu as déjà vu Marie toute nue !
C’est justement ! Je ne l’ai jamais vue « habillée ». Comme ça c’est une vraie pousse au viol !
C’est le but ! Ajoute l’autre Marie, pas mécontente de son effet. »
Ma Marie, elle, a choisie une robe bleue, de la couleur de ses yeux. Un long fourreau qui dégage ses épaules et fendu sur un côté de la hanche jusqu’en bas. Des bas, justement, qui sont blancs. Nos deux femmes sont des bombes !
Pendant l’apéritif, elles ont pris place dans le canapé côte à côte et ne tardent pas à s’embrasser. Alors que nous entamons la deuxième bouteille de champagne, Marie, notre hôtesse déclare :
- « Messieurs, vous voulez bien nous faire un striptease ? Nous vous trouvons un peu trop habillés ! Je suis sûre que vous devez bander en nous regardant et je très envie de voir vos belles queues. Marie ! Vas mettre un peu de musique et reviens vite contre moi. »
En riant nous commençons notre strip. Rapidement nous sommes en slip, ou plutôt en string que l’un et l’autre nous avions revêtu. On s’amuse à se tourner autour, à se frôler, à se frotter, à frotter les fesses contre la queue de l’autre à travers le tissu, ce qui n’arrange pas nos érections.
« Jean ! Enlève le string de Jean et suces-le, rigole Marie en s’adressant à son mari. »
A genoux devant moi, il descend lentement l’élastique.
Lorsqu’elle franchit le gland ma queue bien raide, remonte et cogne sur mon ventre. Jean plonge aussitôt sa bouche sur ma bite. Les deux Marie ont déjà passé une main sous la robe de leur voisine et admirent le tableau.
« S’il te plait Jean, dit ma Marie, faites-nous un soixante neuf comme l’autre jour au sauna. J’adore ça ! »
Nous nous retrouvons nus tous les deux, couchés sur le tapis devant nos femmes. Jean est un homme délicat et très gourmand et c’est avec plaisir que nous échangeons nos caresses.
Les femmes se sont dévêtues, ne conservant que leurs bas. Elles s’approchent de nous et leurs mains passent de l’un à l’autre indifféremment. Couchées à nos côtés, elles se mettent aussi en soixante neuf. Nous jouons ainsi un moment puis, les femmes nous font asseoir sur le canapé et, inversant les partenaires nous sucent avidement. Pour les exciter, nous nous caressons mutuellement et nous embrassons. Elles ne tiennent plus et simultanément se mettent à cheval sur nos jambes et s’embrochent sur nos sexes vigoureux.
Jean connaît bien Marie et lui titille aussitôt les seins, l’amenant rapidement à l’orgasme. De mon côté, je tente de trouver le « point faible » de l’autre Marie et c’est la mienne qui m’indique de lui mettre un doigt dans le cul ce qui en effet la fait jouir très vite.
Les deux femmes ont bien préparé la soirée. Après quelques amuse-gueule, elles sortent deux godes ceinture et nous indiquent qu’elles ont décidé de nous enculer « puisque vous aimez ça mes salauds ! » Pour que tout le monde puisse profiter de la vue, elles ont installé une caméra qui projette l’image sur le grand écran plasma de la télé. Elles nous positionnent à genoux face à l’écran, ainsi, chacun peut se voir et voir les autres en action. Les images sont enregistrées et lorsque nous les reverrons par la suite, elles déclencheront toujours l’excitation des spectateurs, car cette vidéo, le couple la fera partager lors de soirées un peu chaudes.
Les femmes se régalent, nous aussi d’ailleurs.
Elles ont bien sûr inversé leur homme chacune voyant son homme se faire prendre par l’autre femme.
Bien sûr, avec leur queue factice, elles peuvent résister longtemps et ne s’en privent pas. La sodomisation dure. N’en pouvant plus, à un moment, je me branle et jouis. Marie se déchaîne alors dans mon cul et fort heureusement, l’autre partie du gode la pénètre et provoque son orgasme. Voyant cela, ma Marie accélère et jouit à son tour. Jean, de son côté, jouit sans se toucher. Ce n’est pas une éjaculation mais un filet continue de sperme qui s’écoule. Sa jouissance dure aussi longtemps, le laissant pantelant.
Après une rapide toilette commune, chacun retrouve son partenaire, pour un moment tendresse. Les femmes sont enchantées de l’expérience et nous promettent de la reproduire. D’ailleurs, l’une comme l’autre garde la queue factice. Elles veulent maintenant prendre « leur » homme. Nous parvenons à leur demander un peu de répit pour nos anus endoloris malgré tout. Je les fais patienter en leur proposant de nous prendre de face à la « missionnaire » à condition de s’amuser entre elles d’abord.
En fait, elles n’avaient pas pensé à cette option. L’une après l’autre, elles se sodomisent, sous l’œil de la caméra. Trouvant malgré tout beaucoup plus excitant de sodomiser un homme. Ceci dit, cela ne les empêche pas de se faire jouir tour à tour. Pendant ce temps, nous récupérons en nous rinçant l’œil, ce qui provoque bien sûr une nouvelle érection. On se branle mutuellement, sans chercher plus que ça. C’est très agréable de faire ainsi. Bien sûr, au bout d’un moment, nous ne résistons pas à nous pencher tour à tour sur la bite de l’autre pour la prendre en bouche. Celle des deux qui à ce moment prend l’autre ne manque pas de faire remarquer que « ces deux petits pédés adorent sucer de la bite ».
Nous mangeons un petit peu tout de même pour reprendre des forces avant que les femmes qui n’ont pas perdu de vue leur objectif, ne décident qu’il est temps de prendre leur homme. Je leur suggère de le faire l’un après l’autre afin que tout le monde profite du spectacle. Je me couche sur la table et ma Marie, après avoir copieusement enduit mon anus de gel ne s’enfonce dans mon cul sous l’œil attentif de nos deux amis. Je relève mes jambes qu’elle prend dans ses bras tout en me besognant. Le couple enlacé à nos côtés ne manque rien. Marie promettant à son mari une « bonne enculade » quand son tour viendra. Elle me branle la queue, puis lui demande de me sucer et de recevoir mon « jus de corps d’homme » comme elle dit.
Sous l’action de mon enculeuse et de la bouche de Jean, je me vide. J’ai l’impression presque douloureuse de m’assécher les couilles. Il me faut du temps pour récupérer. Mes trois compagnons, après que Marie ait partagé mon sperme avec son mari, me caressent, me félicitent, m’embrassent. Mon anus est bien endolori. Il est vrai que je me suis fais enculer trois fois dans la soirée !
C’est au tour de Jean de subir sa sodomisation par sa femme. Il découvre cette position et y prend beaucoup de plaisir. C’est moi qui reçois son sperme dans la bouche et le partage ensuite avec Marie. Lui aussi annonce qu’il a un peu mal au cul. Nous décidons de nous octroyer une nuit de repos. Marie, notre hôtesse veut que nous la passions dans le lit conjugal, assez grand pour nous recevoir tous les quatre. Malgré quelques velléités, nous sombrons rapidement dans le sommeil.
Au matin, un petit déjeuner copieux nous remet en forme. Marie, notre hôtesse est très joueuse et décide de « remettre les hommes en forme car elle veut que les femmes reçoivent elle aussi leur sodomisation.
Pour l’occasion, les deux femmes ont revêtu leur tenue sexy de la veille et décident de se comporter « comme des putes ». Maquillage excessif et attitudes provocantes. Il ne nous en faut pas beaucoup pour être opérationnels. Penchée sur la table, c’est notre hôtesse qui est la première et c’est moi qui l’encule le premier, la queue de Jean étant plus grosse. Eh oui ! Comme nous, les femmes recevront trois queues dans leur cul, puisque hier elles se sont entre pénétrées !
La position et les formes aguichantes de ma cavalière font que je ne peux résister longtemps, aussi, je laisse rapidement ma place à son mari avant de jouir. Il faut que je m’occupe ensuite de Marie.
La femme de Jean est une adepte de la sodomie, aussi son mari ne la ménage pas. Elle jouit sous son assaut.
Marie, n’est pas trop habituée à cette pratique, aussi nous demande-t-elle de la ménager. Sa copine, après avoir récupéré, lui bouffe le cul, enfilant sa langue le plus possible dans l’anus. La coquine se retourne vers moi et profite de la situation pour me sucer un peu au passage. Elle suce aussi son mari pour le revigorer. Le fait que nos bites sortent de son cul n’est pas pour lui déplaire.
Elle relève le fourreau de Marie qui penchée et jambes écartées en attente est obscène. L’autre Marie ne manque pas de le lui faire remarquer.
« Regardez-moi cette petite pute qui attend d’être saillie ! Avec son visage d’ange, c’est une sacrée salope ! Messieurs, démontez-lui le cul ! Faites-là crier ! Qu’elle en redemande cette poufiasse ! Que son cul soit un garage à bites !
Oh Marie ! Ne parles pas comme ça ! J’ai honte comment tu me traites !
Je te connais bien ma petite pute ! Tu aimes ça d’habitude ! Ce n’est pas parce que ton chéri est là que je vais me gêner !
Ce n’est pas mon chéri ! C’est un vieil ami !
Oui ! Un vieil ami avec qui tu baises et dont tu parles tout le temps. Tu en as beaucoup comme ça ?
Mais non ! Tu le sais bien !
Alors toi, le vieil ami, encule cette pute qui n’est pas ta chérie et vides-toi bien les couilles dans son cul que mon mari puisse lui en mettre un bon coup ! »
Ce dialogue surréaliste nous a bien excités. Je me positionne derrière mon amie. Sa copine saisit ma queue, la guide devant l’anus de Marie et pousse sur mes fesses. Bien préparé, le petit trou de Marie s’ouvre sans difficultés et je m’enfonce dans son boyau jusqu’au bout. La saisissant aux hanches je la baise profondément. Marie est étroite et réagit bien. Elle tourne sa tête vers moi, les yeux chavirés.
- « Oh oui, c’est bon ! J’adore ta queue dans mon cul ! Baise-moi bien, j’aime ça ! Elle est bonne ta bite ! Je t’ai bien enculé hier, alors bourre-moi ! Bourre ta salope de copine. Mon cul est à toi ! Vide tes couilles je te sucerai la bite après. Remplis-moi de ton foutre ! »
Les mots crus dans la bouche de Marie sont particulièrement excitants. Elle si bien élevée, se lâche complètement. L’autre Marie vient l’embrasser à pleine bouche atténuant un peu les cris qu’elle pousse. A ce rythme, je sens monter mon jus ;
- « Je viens ! Salope ! Je vais te remplir le cul puisque c’est ce que tu veux ! Tu es une bonne salope sous ton air angélique ! Tiens prends ça ! »
Je me vide dans ses intestins. La main de Jean sur mes fesses me bloque au fond alors qu’il me glisse un doigt dans le cul. Je lui laisse la place et d’un coup il pénètre le petit cul de Marie. Bien ouvert et graissé par moi, elle le sent tout de même passer elle pousse un cri de douleur, vite remplacé par des gémissements de plaisir. Notre hôtesse me fait passer devant Marie pour lui présenter ma queue sortie de ses lombes. Elle a un mouvement de recul, mais sa copine qui pousse la tête d’une main et lui bouche le nez de l’autre, l’oblige à ouvrir les lèvres et à m’avaler. Elle est prise alors par les deux bouts et semble aimer sucer cette queue odorante qui est restée propre car les femmes s’étaient préparées à la sodomie avec un lavement.
Nous passons le reste de la journée nus, à manger, jouer aux cartes, avec des intermèdes sensuels. Marie, notre hôtesse, tient à un moment faire l’amour avec moi dans son lit conjugal. Elle a monté un scénario dans lequel son mari est supposé nous surprendre. Elle nous dit adorer cette situation qui leur rappelle le jour ou réellement Jean l’a surprise au lit avec un amant et ou a débuté leur vie de libertins. Car ils ont découvert les plaisirs de changer de partenaire.
En fin de journée, je laisse le couple chez qui Marie va passer la nuit, pour retourner chez moi et au travail le lendemain.
Marie est devenue très amie avec le couple. Elle partage souvent leurs rencontres, ne manquant jamais de m’y convier selon mes disponibilités. Elle n’a plus envie de s’engager avec un homme et trouve ce mode de vie fort agréable. De temps en temps, nous nous retrouvons seuls, toujours discrètement vis-à-vis de notre entourage. Lorsque la rumeur fait état de fréquentations de Marie avec tel un ou tel autre, je vais dans le sens de la personne en disant qu’elle en a bien le droit. Ajoutant que je serais bien heureux d’en faire partie, car elle est très mignonne ! Personne ne se doutera que nous entretenons des relations intimes.

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